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Parcours Custruì Spécial Reprise d'Entreprise: Reprendre c'est Entreprendre !
Les thèmes de la reprise et de la transmission d’entreprise sont cruciaux, tout particulièrement en Corse où les TPE constituent la majeure partie du paysage économique. Nous retrouvions autour de la table pour cette conférence Denis Bellaiche (Directeur Economique de la Chambre des Métiers de la Corse-du-Sud), Jean-Michel Verleye (analyste financier), Georgina Fraticelli (CCI 2B) ainsi que des structures d’accompagnement telles que la Couveuse d’Entreprises de la Corse et la SCOP A Prova, et enfin Jean-Pierre Boissin en qualité d’animateur.
L’occasion donc de revenir sur des chiffres : selon les CCI, ce sont 30% des chefs d’entreprises qui ont plus de 55 ans, un pourcentage encore plus marqué quand il s’agit de l’artisanat. La relève doit donc être assurée, et pour ce faire, des outils existent, qui facilitent cette étape souvent épineuse. Ainsi, différents dispositifs sont mis en place à l’échelle du territoire, financés notamment par la CTC et son Agence pour de le Développement Economique (ADEC). Dispositifs cruciaux pour une île qui, comme le rappelle Denis Bellaiche, souffre d’avoir « un tissu économique déséquilibré dans le temps et dans l’espace ».
Georgina Fraticelli a mis en avant l’existence d’une cellule transmission dédiée au sein de la CCI, permettant un réel accompagnement dans le temps du repreneur.
Tout comme des dispositifs tels que le contrat CAPE et bientôt le contrat CAPRE qui permettent de réaliser des tests d’activités, et qui peuvent être encadrés par des structures telles que la Couveuse d’Entreprise ou la SCOP A Prova.
Encore une fois, si ces rencontres ont vocation à familiariser nos étudiants avec les réalités et les satisfactions de l'entrepreneuriat, il ne s'agit jamais de céder à l'angélisme mensonger. Ainsi, différents intervenants se sont-ils fendus de quelques mises en garde sur ce qu’implique l’entrepreneuriat et plus particulièrement la reprise. Jean-Michel Verleye rappelle ainsi qu’il ne suffit pas d’être un bon gestionnaire pour être un bon repreneur et qu’il faut « savoir développer de la valeur ajoutée ».
D’autres points ont également été mis en exergue, des informations et conseils toujours bons à prendre pour nos potentiels futurs repreneurs. Par exemple, l’importance de la dimension psychologique chez le cédant, à l’image du frein à la cession et parfois les difficultés de passation.
Nos conférenciers ont tout de même rappelé que l’entrepreneuriat, qu’il se fasse sous forme de création, de reprise ou de transmission d’entreprise reste une réelle aventure, à la fois humaine et professionnelle !
L’occasion donc de revenir sur des chiffres : selon les CCI, ce sont 30% des chefs d’entreprises qui ont plus de 55 ans, un pourcentage encore plus marqué quand il s’agit de l’artisanat. La relève doit donc être assurée, et pour ce faire, des outils existent, qui facilitent cette étape souvent épineuse. Ainsi, différents dispositifs sont mis en place à l’échelle du territoire, financés notamment par la CTC et son Agence pour de le Développement Economique (ADEC). Dispositifs cruciaux pour une île qui, comme le rappelle Denis Bellaiche, souffre d’avoir « un tissu économique déséquilibré dans le temps et dans l’espace ».
Georgina Fraticelli a mis en avant l’existence d’une cellule transmission dédiée au sein de la CCI, permettant un réel accompagnement dans le temps du repreneur.
Tout comme des dispositifs tels que le contrat CAPE et bientôt le contrat CAPRE qui permettent de réaliser des tests d’activités, et qui peuvent être encadrés par des structures telles que la Couveuse d’Entreprise ou la SCOP A Prova.
Encore une fois, si ces rencontres ont vocation à familiariser nos étudiants avec les réalités et les satisfactions de l'entrepreneuriat, il ne s'agit jamais de céder à l'angélisme mensonger. Ainsi, différents intervenants se sont-ils fendus de quelques mises en garde sur ce qu’implique l’entrepreneuriat et plus particulièrement la reprise. Jean-Michel Verleye rappelle ainsi qu’il ne suffit pas d’être un bon gestionnaire pour être un bon repreneur et qu’il faut « savoir développer de la valeur ajoutée ».
D’autres points ont également été mis en exergue, des informations et conseils toujours bons à prendre pour nos potentiels futurs repreneurs. Par exemple, l’importance de la dimension psychologique chez le cédant, à l’image du frein à la cession et parfois les difficultés de passation.
Nos conférenciers ont tout de même rappelé que l’entrepreneuriat, qu’il se fasse sous forme de création, de reprise ou de transmission d’entreprise reste une réelle aventure, à la fois humaine et professionnelle !
GRAZIELLA LUISI | Mise à jour le 10/04/2015